dimanche 10 janvier 2016

Transformation du plan et pavage sur la base des œuvres de MC ESCHER.

MaNAA2015/2016- Janvier
Mathématiques-Mme JACQUIN Sandrine



Article en chantier!


Transformation du plan et pavage sur la base des œuvres de MC ESCHER


SYMMETRY DRAWING E 25
Voici plusieurs dessins d'Escher qui présentent des translations. À vous de les trouver !
Vous tracerez pour chaque translation vous tracerez le vecteur associé.
Symmetry drawing 72


SKY AND WATER I

 Animation relative à la création du motif du pavage « sky and water I » consultable en suivant le lien : http://xavier.hubaut.info/coursmath/doc/pavages.htm

Travail personnel: 

En prenant modèle sur cette construction, réalisez votre propre motif puis votre pavage.

1/ Sur une feuille, vous expliquerez  quelle figure géométrique vous avez sélectionné et quelle   
    déformation vous avez effectuée pour obtenir votre motif.
2/Sur un calque vous réaliserez votre motif de base

3/Sur un format A4, vous dupliquerez votre motif afin de paver  la feuille.




Une première expérience, une autre vision des mathématiques.

MaNAA-2015/2016- Octobre /Novembre
Mathématiques-Melle JACQUIN/Physique-M PLANTIER

Projet Mathématiques/Physique et Art

A partir de la visite de l’exposition « Expériences » au musée Curie, les étudiants ont été amené à suivre le même type de protocole que celui proposé aux artistes ayant exposés mais pour  aborder des thèmes Mathématiques ou de Physique vus en cours avec leur sensibilité artistique.

Les dossiers qui sont fournis aux étudiants abordent trois thèmes : La démonstration du théorème de Pythagore par Euclide, le codage binaire et la spirale de Fibonacci.
Le choix des matériaux, ainsi que les dimensions sont libres pour la production d’une œuvre


La spirale de Fibonacci













Le codage binaire



















La démonstration du théorème de Pythagore par Euclide





Visite de l'exposition au musée Curie 

Quand des résultats d'expériences scientifiques de chercheurs de l'Institut Curie sont soumis tels quels, sans légende, ni commentaire, au regard et à la créativité d'artistes, cela produit des expériences artistiques... qui sont exposées dans le jardin du Musée Curie.

Une expérience originale qui devient une exposition

Art et science : deux domaines que l’on oppose souvent mais qui se ressemblent pourtant bien plus qu’il n’y paraît... C’est à partir de cette réflexion qu’est né ce projet d’exposition, avec l’idée d’explorer la complémentarité entre l'art et la science à partir d’une « expérience » originale. Des artistes ont en effet été conviés par quatre jeunes biologistes de l'Institut Curie à faire ensemble une expérience d’un nouveau genre selon un protocole strict. Cette expérience est ensuite devenue une exposition...
Protocole de l'expérience
Une centaine d’images scientifiques élaborées dans l’intimité des laboratoires de l’Institut Curie (laboratoires d'excellence DEEP et CelTisPhyBio) ont été organisées en quatre dossiers nommés A, B, C, D. Puis, ces dossiers, comprenant des vidéos et photographies prises au microscope, ainsi que des graphiques, ont été proposés aux artistes sans aucune légende, ni aucun commentaire.
Ces images étaient donc muettes pour qui n’a pas le savoir du biologiste. Chaque artiste a pu choisir celles qui l’attiraient le plus, et en faire l’objet de son travail. Le choix des matériaux, ainsi que les dimensions étaient libres pour la production d’une œuvre.
15 artistes français, américain et hollandais aux spécialités et aux sensibilités très diverses se sont prêtés à l’expérience proposée par les chercheurs de l’Institut Curie.
Après la rencontre avec les images scientifiques vient la démarche. Elle diffère selon les parcours des artistes. Différents facteurs (connaissance ou non du domaine scientifique, ressenti, etc.) entrent en jeu lors de l’appropriation du matériau par l’artiste puis de la création.
Quel retour d'expérience ?
Cette "exposition-expérience" propose d'explorer les points communs entre l'art et la science, deux domaines qui ont divergé au fil des siècles.
L'art et la science sont des champs qui apparaissent comme étrangers l’un à l’autre. Pourtant cette séparation n’a pas toujours existé. Ces deux domaines ont en effet divergé au fil des siècles, et c'est au XXe siècle que le divorce fut consommé. Les démarches et finalités respectives des artistes et des scientifiques, dans l’exercice de leur profession, peuvent-elles être comparées aujourd’hui ?
C'est cette question que cette "exposition-expérience" propose d'explorer.

La séparation entre l'art et la science n’a pas toujours existé. Pendant la période moderne, du XVe au XVIIIe siècle environ, l’artiste est considéré comme un scientifique qui veut représenter la réalité le plus précisément possible. Il cherche à reproduire exactement la faune, la flore, les minéraux, l’anatomie humaine, mais aussi un paysage en trois dimensions, grâce aux règles de la perspective. Le savant, à la fois artiste et homme de science, cherche à comprendre et à représenter la nature et le réel.
Puis les artistes se sont détournés de cette quête de l’exactitude, ils ont revendiqué le fait de pouvoir porter un regard particulier sur le monde, chargé d’une histoire personnelle. L’œuvre d’art est alors devenu le résultat d’une vision unique, individuelle et subjective.
Aux scientifiques seuls restait donc la charge d’observer leur environnement avec objectivité.
Au risque de paraître simpliste, on peut considérer que la science moderne émerge au XVIIe siècle, où elle représente un élément de la culture de son temps. La science s’institutionnalise et la disjonction commence alors à opérer. Cette divergence entre art et science s’accentue au siècle suivant, avec le développement des universités, des laboratoires, et l’intégration de la science dans l’économie, l’industrie et la technique. La science prend alors son autonomie vis à vis de la culture. 




jeudi 16 janvier 2014

Othello au royaume du rectangle d'or.

Qu'est ce qu'un rectangle d'or ?

Un objet purement mathématiques? Pas seulement...
                     Purement esthétique? Pour certains, il est associé à l'idée de beauté, d'harmonie.

Le rectangle d'or est tel que le rapport entre sa longueur et sa largeur soit égal à ce fameux nombre d'or.

                                                         Encore une histoire de divine proportion!

L'idée étant lancée, les élèves se sont tout d'abord attelés à la construction d'un rectangle d'or.
                     A l'ancienne "régle et compas" ou  à l'aide du logiciel Géogébra.




Dans un second temps, pour faire suite à la sortie organisée par Mme Dumaire au théâtre des Amandiers où nous avons assisté à la pièce "Les amours vulnérables de Desdémone et Othello", les élèves ont réalisé une affiche pour cette pièce ou une vue en perspective de la scène.
Cette production devant intégrer plusieurs rectangles d'or.


Belle production de Thierry grace à une utilisation des traits de construction des rectangles (qui devaient rester visibles) pour mettre en valeur les personnages et leurs relations.


Belle affiche avec déchiffrage pour le professeur de la part de Rémy


Celeste met en valeur le personnage principal à l'aide d'un rectangle d'or


Rectangles imbriqués selon Alexia pour composer la robe de Desdémone.

Detail des amours sanglants de Mélissa!


Cherchez le rectangle?

vendredi 10 janvier 2014

* Suite de Fibonacci et Sortie au Jardin des Plantes / Transversalité MATH - EPF

Suite à la visite en septembre de la Grande Galerie de l'Evolution, et de l'exposition "Les Insectes passent à Table", les MANAA encadrés par Mme Jacquin ont travaillé sur le nombre d'or et la suite de Fibonacci. Voici quelques unes de leurs réalisations.